Moyen-Orient et Afrique du Nord : Mettre fin aux restrictions à la mobilité des femmes
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Les autorités koweïtiennes se servent de certains articles de la Constitution, de la loi sur la sécurité nationale et d'autres lois pour restreindre la liberté d'expression, étouffer la dissidence politique et poursuivre en justice des dissidents. Des journalistes, des opposants politiques et des activistes ont été punis pour avoir critiqué l'émir ou le gouvernement dans des blogs ou sur des plateformes de médias sociaux. Des propos critiques envers la religion ou des dirigeants de pays voisins ont aussi été punis. Malgré les récentes réformes, les travailleur.euse.s migrant.e.s ne bénéficient pas de protections juridiques adéquates, en partie à cause du système de la « kafala » (parrainage) qui ne leur permet pas de quitter ou de changer d'employeur sans son consentement. Ceci accroît le risque d’abus, d'exploitation, de travail forcé, ou d’expulsion sommaire pour des infractions mineures. La communauté des Bidounes compte entre 88 000 et 106 000 personnes apatrides qui revendiquent la nationalité koweïtienne, sans laquelle elles vivent dans une espèce de vide juridique.
18 juillet 2023
14 octobre 2021
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Human Rights Watch a créé un indice classant les pays de la région selon leurs lois et politiques
Des vidéos et un rapport abordent les questions d’identité et d’activisme
Les gouvernements de la région tentent de réduire au silence les activistes qui utilisent les médias sociaux
Les entreprises de construction devraient adopter de nouvelles lignes directrices
La protection des droits humains est cruciale dans les situations de crise et de chaos
La condamnation de Sara al-Drees à 20 mois de prison est une nouvelle atteinte à la liberté d'expression
De telles poursuites violent le droit à la liberté d’expression
Cinquante ans d'attente pour n'obtenir du gouvernement que des subsides
Les forces de sécurité ont également arrêté des dizaines de ces résidents apatrides de l'émirat
L’année 2010 a été marquée par l’exploitation de la main d’œuvre, la violence et l’accès restreint à la justice